3 — Jungle hostile — Nouvelle — Jonathan De Lœuw

Bonjour !
Voici maintenant le début d'une nouvelle que j'ai écrite lorsque j'avais environ 12-13 ans. J'en connais les faiblesses, mais vous, saurez-vous les identifier et me conseiller ?
"Je m'appelle Jim, Jim Paterne. Je suis né le dix Avril mille neuf cent soixante cinq dans un petit village du Maine maintenant devenu une grande ville : Angers. Je suis savant et explorateur. Né dans une famille aisée, j'ai mené une enfance tranquille. J'ai fait des études d'histoire. Je m'intéresse à la vie des peuples sous-développés et les étudie. Quand je ne voyage pas, je suis professeur d'histoire à mi-temps dans un lycée. Je suis âgé de trente et un ans et mon aventure m'est arrivée quelques mois après l'anniversaire de mes vingt cinq ans. Ma femme a trente ans, s'appelle Euphélia et travaille dans la bureaucratie. Ma fille aînée a dix ans, est en deuxième année de cours moyens et s'appelle Elise. Quant à mon fils cadet, il a sept ans et demi, est dans sa première année de cours élémentaires et s'appelle Denis. Nous habitons maintenant à Champlan, dans la montagne.
En mille neuf cent quatre vingt dix, je pris la connaissance d'anciens peuples autochtones vivants dans la jungle amazonienne. Je réservais un billet de deuxième classe pour un aller simple en partance d'Orly à destination de La Paz. Le fait qui me décida à prendre cette destination était que c'était la ville qui était la plus proche de l'Amazonie et qui possédait un aéroport. On me donna un guide en plus de mon billet qui me fournissait des informations sur la zone où j'allais atterrir : La Paz était la capitale de la Bolivie ; elle était construite sur un plateau à trois mille sept cent mètres d'altitude ; fondée en mille cinq cent quarante huit, elle abritait environ huit cent quatre vingt mille habitants et le plateau s'était formé dans une vallée abritée, non loin du lac Titicaca. Je disais au revoir à ma petite famille et partais.
Dans l'avion, je fis la connaissance avec mon voisin. C'était un habitué de la région où nous allions et y avait de nombreuses relations. Il me raconta comment il avait monter son entreprise, me parla de sa famille, de ses relations, de ses amis, de ses passions et enfin de la jungle elle-même. Je pris le relais de la conversation en lui parlant de ma passion pour les pays sous-développés, de mon travail, de ma famille, de mes recherches. Après cinq bonnes heures de discussion, nous étions amis et il me promit de me fournir des guides, des porteurs et des vivres. Nous dormîmes encore trois heures et passâmes la dernière heure de vol à lire le journal du jour."
Merci à vous et au plaisir de vous lire !

